Le préfet de la région Midi-Pyrénées, Henri-Michel Comet, a clairement laissé entendre que si le financement de la LGV Tours–Bordeaux n’était pas réglé rapidement, d’autres projets de ligne pourraient être prioritaires : « Si la mobilisation collective – Etat, collectivités locales, etc – n’arrive pas à être suffisante sur l’ensemble du projet, il y a des projets, eux, qui sont prêts » (source : AFP).